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Intégré au jardin zoologique du parc de la Tête d’Or, qui date du xixe siècle, le projet propose une découverte progressive des paysages de plaine africaine : savane ouverte, savane arborée, forêt dense, zone tropicale autour d’une île et d’un bassin agrandi ; en diversifiant le traitement des lisières, en multipliant les points d’observation intimes, de manière à immerger le visiteur dans la plaine et l’abstraire un moment de l’ambiance générale du parc.
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Le parti pris architectural et paysager est celui de la mise en scène de la biodiversité et de sa préservation. Le projet n’a pas pour vocation d’exhiber une collection d’espèces dans des enclos séparés mais de privilégier la représentation d’un biotope spécifique où pourraient évoluer ensemble différentes espèces (antilopes, buffles, zèbres, girafes, grues...) originaires de cette région du monde.
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Ce principe s’inscrit dans une logique nouvelle d’améliorer le bien-être des animaux donnés à voir tout en sensibilisant le public à la diversité des milieux naturels et en l’amenant à prendre conscience des enjeux en matière de préservation de la biodiversité. Il permet ainsi un maximum de possibilités d’action pédagogique et de sensibilisation sur le développement durable.
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Intégré au jardin zoologique du parc de la Tête d’Or, qui date du xixe siècle, le projet propose une découverte progressive des paysages de plaine africaine : savane ouverte, savane arborée, forêt dense, zone tropicale autour d’une île et d’un bassin agrandi ; en diversifiant le traitement des lisières, en multipliant les points d’observation intimes, de manière à immerger le visiteur dans la plaine et l’abstraire un moment de l’ambiance générale du parc.-5fd2304802ad3.jpeg)
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Le parti pris architectural et paysager est celui de la mise en scène de la biodiversité et de sa préservation. Le projet n’a pas pour vocation d’exhiber une collection d’espèces dans des enclos séparés mais de privilégier la représentation d’un biotope spécifique où pourraient évoluer ensemble différentes espèces (antilopes, buffles, zèbres, girafes, grues...) originaires de cette région du monde.-5fd2304b967cd.jpeg)
Ce principe s’inscrit dans une logique nouvelle d’améliorer le bien-être des animaux donnés à voir tout en sensibilisant le public à la diversité des milieux naturels et en l’amenant à prendre conscience des enjeux en matière de préservation de la biodiversité. Il permet ainsi un maximum de possibilités d’action pédagogique et de sensibilisation sur le développement durable.-5fd2304be5fc6.jpeg)